Mohamed
Tamalt, journaliste free-lance, qui était en détention âpres sa
condamnation par la justice algérienne, en juillet 2016, à deux années
de prison ferme pour «offense au président de la république et à des
ministres », est décédé dimanche 11 décembre.
Le décès est survenu hier matin dans un hôpital d'Alger où il avait été admis après qu'il a entamé une grève de la faim pour dénoncer sa condamnation.
Officiellement, on impute le décès de Mohamed Tamalt à «des complications liées à la grève de la faim d'un malade souffrant de diabète», mais la famille du défunt soutient qu'il avait été battu en prison et qu'on lui avait fait des points de suture à la suite de coups portés à la tête.
"Human Rights Watch", Amnesty International et la Ligue Algérienne de Défense des Droits de l'Homme s'étaient élevé contre la condamnation du journaliste. Ses avocats et sa famille n'avaient eu de cesse d’alerter sur la dégradation de son état de santé en prison.
Mediaterranee
Le décès est survenu hier matin dans un hôpital d'Alger où il avait été admis après qu'il a entamé une grève de la faim pour dénoncer sa condamnation.
Officiellement, on impute le décès de Mohamed Tamalt à «des complications liées à la grève de la faim d'un malade souffrant de diabète», mais la famille du défunt soutient qu'il avait été battu en prison et qu'on lui avait fait des points de suture à la suite de coups portés à la tête.
"Human Rights Watch", Amnesty International et la Ligue Algérienne de Défense des Droits de l'Homme s'étaient élevé contre la condamnation du journaliste. Ses avocats et sa famille n'avaient eu de cesse d’alerter sur la dégradation de son état de santé en prison.
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