Le président de la Ligue algérienne pour la défense des droits de
l’homme (Laddh) à Laghouat, Yacine Zaïd, a qualifié, dans un communiqué,
d’inadmissible, inhumain et anarchique, le traitement réservé aux
citoyens au niveau du palais de justice de Laghouat.
Il a fait endosser l’entière responsabilité de cet état de fait au ministère de la Justice. Selon la même source, l’ONG a constaté des injustices et des violations des droits de l’homme élémentaires dans le traitement réservé aux citoyens. Ces derniers souffrent, selon le communiqué, “de mépris et de pratiques anarchiques portant atteinte à leur humanité”.
Le communiqué a cité notamment l’absence d’une salle d’accueil au niveau du palais de justice, ce qui contraint les citoyens à rester à l’extérieur de l’enceinte. “Le calvaire des citoyens commence à l’entrée de l’édifice où la grande porte devant être réservée à l’entrée est fermée sans aucune cause valable. Les citoyens sont obligés d’utiliser une porte qui ne dépasse pas les 70 cm de large, ce qui les oblige à se tenir debout et former d’interminables chaînes humaines”, note le communiqué, avant de mettre en relief les risques qu’encourent les enfants qui accompagnent leurs mamans, contraints d’attendre à l’extérieur dans le froid en raison de l’interdiction d’accès des enfants en bas âge à l’intérieur de l’institution.
Dans son communiqué, la Laddh n’a pas manqué d’interpeler le ministère de la Justice en le tenant pour coupable de “toute complication atteignant la santé des enfants gardés sous le froid à l’entrée du palais de justice”.
A.B.Liberté
Il a fait endosser l’entière responsabilité de cet état de fait au ministère de la Justice. Selon la même source, l’ONG a constaté des injustices et des violations des droits de l’homme élémentaires dans le traitement réservé aux citoyens. Ces derniers souffrent, selon le communiqué, “de mépris et de pratiques anarchiques portant atteinte à leur humanité”.
Le communiqué a cité notamment l’absence d’une salle d’accueil au niveau du palais de justice, ce qui contraint les citoyens à rester à l’extérieur de l’enceinte. “Le calvaire des citoyens commence à l’entrée de l’édifice où la grande porte devant être réservée à l’entrée est fermée sans aucune cause valable. Les citoyens sont obligés d’utiliser une porte qui ne dépasse pas les 70 cm de large, ce qui les oblige à se tenir debout et former d’interminables chaînes humaines”, note le communiqué, avant de mettre en relief les risques qu’encourent les enfants qui accompagnent leurs mamans, contraints d’attendre à l’extérieur dans le froid en raison de l’interdiction d’accès des enfants en bas âge à l’intérieur de l’institution.
Dans son communiqué, la Laddh n’a pas manqué d’interpeler le ministère de la Justice en le tenant pour coupable de “toute complication atteignant la santé des enfants gardés sous le froid à l’entrée du palais de justice”.
A.B.Liberté
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